HOMME INACCESSIBLE novel Chapter 4289

<Chapitre 4289 

Chapitre 4289 

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Anderson n’osait pas dire trop et a simplement dit qu’il n’avait pas bien traité quelques grands cas récemment. En constatant qu’il ne voulait pas mener une conversation approfondie, Achillas ne lui demandait plus. 

A cause de son caractère introverti, Anderson n’avait pas beaucoup oup d’amis. De plus, sa mère mourait tôt et son père ne s’est plus marié, donc Anderson n n’avait pas frères ou sccurs non plus. 

Ces dernières années, sa femme était partie pour Houston avec ses enfants, il devenait d’autant plus solitaire en restant seul à New York. Bien que sa famille s’entende bien avec les Breguet, il rosait pas les déranger fréquemment à cause du grand écart entre les deux familles. 

Si ce n’était pas que Cormier avait rencontré des difficultés quand il se rendait à la Cité J pour acheter la Pilule de Renouveau alors qu’Anderson était troublé par le cas où Alain était kidnappé, les deux n’auraient pas eu beaucoup de chances de se rencontrer. 

Du coup, s’asseyant parmi les Breguet, Anderson a retrouvé un peu le bonheur d’être avec la f 

famille et il se sentait moins mélancolique. 

Quand il prenait le vin avec Cormier, Armand et Cradric, Anderson a soudainement reçu un texto. 

Le texto était envoyé par son subordonné de confiance, le subordonné disait que l’identité du patron du restaurant était déjà dévoilée par l’informateur de la Cité G. 

Frissonnant, Anderson a pris le prétexte d’aller aux toilettes pour sortir et contacter son subordonné. 

Après que le subordonné a pris l’appel, il a directement demandé : 

Floderic, quelles sont les nouvelles ? 

Son subordonné, qui s’appelait Flodéric a répondu : 

-Monsieur, le vrai nom du patron du restaurant est Adolphe, il entrait clandestinement depuis la Cité G aux États–Unis il y a vingt ans. Bien qu’il semble banal en gérant son petit restaurant, il était un diplom doué dans le domaine financier qui retournait à la Cité G après avoir fait ses études aux États–Unis. Mais il avait offensé un riche à la Cité G, donc il s’était enfui à New York. 

Sur ces mots, il a ajouté : 

Sachant qu’Adolphe était assez réputé à la Cité G parce qu’il a mené une grande affaire qui est toujours mentionnée par les habitants de la Cité G jusqu’à aujourd’hui il a séduit la copine du riche et s’est enfui aux États–Unis avec la femme. 

Merde a dit Adolphe en faisant claquer les lèvres, il est un Don Juan ! 

-Quais, a continué Flodéric, à propos, mon chef, j’ai confirmé qu’Adolphe connalt blen Clothilde, selon les renseignements offerts par l’informateur, Bitoric, soit le père de Clothilde, s’est rendu à la Cité G por rencontrer le riche en vue de régler l’affaire concernant Adolphe.. 

A ses mots, Anderson ne pouvait pas s’empêcher de froncer les sourcils avant de dire: 

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-Alors tout s’explique maintenant si c’est le cas, on comprend pourquoi une vedette réputée comme Clothilde se rend à un petit restaurant…. 

– Oui, a dit Flodéric, je pense aussi que c’est normal et estime que Adolphe n’aurait rien à voir avec le cas d’Alain, donc je décide de vous en rendre compte immédiatement. Anderson s’est moqué: 

-Je suis en retraite à l’avance, ce n’est plus la peine de m’en rendre compte. Il suffit de me dire certains détails à condition que tu ne violes pas les stipulations. Bizarrement, la confirmation de l’identité d’Adolphe a déçu Anderson. 

Il préférait les renseignements insolites dans lesquels se cachaient certainement les énigmes. 

Chapter 188