HOMME INACCESSIBLE novel Chapter 4428

Chapitre 4428 

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-Ne sois pas trop pressé, a dit Constantin calmement, plus le moment est crucial, plus tu dois être pondéré, maintenant les criminels sont dans ma boîte de nuit, cela suggère que si Héric est sain et sauf maintenant, il n’aura pas d’autres risques, mais si Héric est déjà mort, ça ne changera rien même si je tuerai Valentina et le mec, donc tu dois attendre jusqu’à ce que je finisse de traiter cette affaire pour obtenir un résultat ! 

Bien qu’Iseult soit extrêmement anxieux, il n’avait pas d’autre choix que de répondre en serrant les dents: 

D’accord, je vais suivre vos ordonnances… 

Constantin a hoché la tête avant de dire en souriant : 

Allons–y, Iseult, nous nous rendons ensemble à la Rue Langeria pour rencontrer les deux jeunes. 

En même temps, au Club Vagues de la Rue Langeria. 

Après avoir reçu le message, les employés du Club Vagues interdisaient l’entrée des clients. 

Beaucoup de subordonnés du Men aux alentours s’y sont aussi précipités pour porter soutiens. 

Ils bloquaient d’abord toutes les entrées de la boîte de nuit pour éviter que Clément et Valentina s’échappent. 

Émeric y est aussi arrivé rapidement depuis la Montagne Rouge en emmenant ses subordonnés. 

En ce moment, Clément s’asseyait dans la loge de la boîte de nuit en prenant calmement un verre de champagne et demandant à Valentina: 

Mlle Valentina, tu veux prendre un verre ? 

Valentina a secoué la tête avec nervosité : 

— 

Je ne prends jamais de vin. 

Clément a demandé en la regardant avec un sourire : 

Tu en ás peur ? 

Valentina a hoché la tête : 

Un peu… 

Sur ces mots, elle a demandé à Clément : 

31 511 5 1 0 1 

Est–ce que je dois appeler mon père ? 

Ce n’est pas la peine, a souri Clément, quelqu’un va l’appeler plus tard. Valentina a dit d’un air impuissant: 

– On peut lui demander de réparer ces saloperies si on n’a pas d’autre choix, il n’y a rien de grave s’il me blâme. Clément a esquissé un léger sourire en disant : 

– Ne t’inquiète pas, il y aura beaucoup de saloperies ce soir, mais ce n’est pas la peine de t’inquiéter pour ça. 

Sur ces mots, Clément a rempli son verre à moitié et a regardé l’heure après en avoir bu une gorgée. 

C’était 8 heures et demie. 

C’était l’heure de prendre des actions. 

Du coup, il a sorti son portable pour envoyer un texto à Quentin : 

[Viens au Club Vagues de la Rue Langeria, ne sois pas pressé à te présenter et attends mon message.] 

Quentin a immédiatement répondu : 

[D’accord, M. Clément, j’y viendrai tout de suite et j’arriverai dans dix minutes!] 

Au bout de dix minutes, une voiture noire s’est garée devant le Club Vagues. 

Il y avait au total cinq personnes dans la voiture, celui qui s’asseyait à côté du chauffeur, c’était Quentin qui atteignait déjà l’échelon avancé. 

Alors qu’une autre personne qui s’asseyait à l’avant, était Lussier, l’un des Quatre Colonels du Dragon Noir. 

Pour les trois qui se trouvaient à l’arrière, c’étaient un autre Colonel Vérany et deux guerriers à cinq étoiles 

Quentin avait reçu l’ordre de Clément pour venir à la Cité G et il faisait venir aussi les deux colonels sous son égide pour éviter d’étre attaqué de nouveau par l’organisation mystérieuse qui assassinait les Breguet à New York. 

<Chapitre 4428 

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Plusieurs minutes plus tard, quand Émeric se rendait rapidement à la Rue Langeria avec ses subordonnés, le Rolls Royce de Constantin y est aussi arrivé. 

Émeric était un peu paniqué parce qu’il ne s’attendait pas à ce que Constantin vienne en personne, donc il a immédiatement poussé la porte pour descendre de la voiture avant de s’avancer rapidement vers le Rolls Royce de Constantin. 

Constantin et Iseult sont aussi descendus de la voiture l’un après l’autre. 

Émeric a demandé à Constantin : 

— 

Monsieur, pourquoi vous venez en personne ? 

Constantin a répondu en souriant : 

Une aubaine est tombée du ciel, je dois certainement venir en personne pour remercier le Dieu. 

Émeric a immédiatement compris l’intention de Constantin, donc il a demandé : 

Monsieur, ils sont encore dedans, comment allez–vous les traiter ? Ou bien j’entre maintenant pour les contrôler ? 

Constantin a ri: 

– 

Ce n’est pas la peine d’être si pressé, fais d’abord sortir toutes les personnes non essentielles et ensuite je vais monter en scène pour jouer une comédie avec eux !